Pas de quoi fouetter un chat…
Tout le monde déménage, sauf le chat ! Tout le monde se cherche un nouveau logis, sans le chat de la demeure… Ouste ! Sans panier ! À la rue le minet guilleret, le minou fou ! Plus de nids pour nous, les deux pattes, alors les autres petites pattes, on s’en fout… Le mistigri gris de la maison demeure à quatre pattes, au diable vauvert. Les yeux oblongs grands ouverts, les oreilles triangulaires sous le vent, le chat vogue la galère !
Cas de force majeur pour la gent féline : retour à la case départ … la vie de chat sauvage. Après tout, il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
De la bouillie pour les chats que toute cette écriture de chat. Le chat commun connaît la gouttière depuis fort longtemps. Le petit mammifère, qu’il soit siamois, persan ou tabby, se domestique seul dans le noir. L’œil du chat est terrible. Il voit tout même dans l’obscurité de la nuit blanche. Alors, le chat de la famille… Au diable ! Ouste ! Arrêt sur le haret. Quand le chat n’est pas là, les souris dansent et déménagent sans fouetter de caresses le chat!
Avoir d’autres chats à fouetter…
Miaou ! Le chat miaule sa triste chanson car bientôt les chatons viendront. Les ronrons se perdront dans la nuit où tous les chats sont gris. Pas un chat pour entendre la complainte de la Chatte. Seul, un chat dans la gorge se pointe. D’emblée, le chat échaudé craint l’eau froide. Il a d’autres chats à fouetter.
Peut-être bien que le chat perdu aura bon chat bon rat… Peut-être bien que quelques sauts de chat suffiront et il se retrouvera sur ses pattes. Après tout, le chat a plus de sept vies ! Tous les sages connaissent cette poésie féline. C’est écrit, voyez : le Chat botté, le Chat perché, le chat, le chat, le chat, le chat, le chat ! Peut-être bien que le chat aura d’autres écrits de chats à fouetter.
À la fin du conte, peut-être bien qu’il est préférable de :
Donner sa langue au chat…
Plutôt que d’abandonner le chat.
À bon entendeur, « chalut » !
Le reste, c’est de la littérature…
Tout le monde déménage, sauf le chat ! Tout le monde se cherche un nouveau logis, sans le chat de la demeure… Ouste ! Sans panier ! À la rue le minet guilleret, le minou fou ! Plus de nids pour nous, les deux pattes, alors les autres petites pattes, on s’en fout… Le mistigri gris de la maison demeure à quatre pattes, au diable vauvert. Les yeux oblongs grands ouverts, les oreilles triangulaires sous le vent, le chat vogue la galère !
Cas de force majeur pour la gent féline : retour à la case départ … la vie de chat sauvage. Après tout, il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
De la bouillie pour les chats que toute cette écriture de chat. Le chat commun connaît la gouttière depuis fort longtemps. Le petit mammifère, qu’il soit siamois, persan ou tabby, se domestique seul dans le noir. L’œil du chat est terrible. Il voit tout même dans l’obscurité de la nuit blanche. Alors, le chat de la famille… Au diable ! Ouste ! Arrêt sur le haret. Quand le chat n’est pas là, les souris dansent et déménagent sans fouetter de caresses le chat!
Avoir d’autres chats à fouetter…
Miaou ! Le chat miaule sa triste chanson car bientôt les chatons viendront. Les ronrons se perdront dans la nuit où tous les chats sont gris. Pas un chat pour entendre la complainte de la Chatte. Seul, un chat dans la gorge se pointe. D’emblée, le chat échaudé craint l’eau froide. Il a d’autres chats à fouetter.
Peut-être bien que le chat perdu aura bon chat bon rat… Peut-être bien que quelques sauts de chat suffiront et il se retrouvera sur ses pattes. Après tout, le chat a plus de sept vies ! Tous les sages connaissent cette poésie féline. C’est écrit, voyez : le Chat botté, le Chat perché, le chat, le chat, le chat, le chat, le chat ! Peut-être bien que le chat aura d’autres écrits de chats à fouetter.
À la fin du conte, peut-être bien qu’il est préférable de :
Donner sa langue au chat…
Plutôt que d’abandonner le chat.
À bon entendeur, « chalut » !
Le reste, c’est de la littérature…
minou au ventre mou
RépondreSupprimerOu fauve au regard mauve. . .
le chat demeure
Un dieu chatouilleux
chat, poète aux yeux bleus merveilleux...
RépondreSupprimerMiaous doux,areu bleus...
si je peux me permettre. . .
RépondreSupprimerVoici une chatte aux yeux bleus
http://palestrique.blogspot.com/2007/06/le-moment-de-ne-pas-bouger.html
:-)
S.
Merci de cette poésie féline tout à fait à propos.
RépondreSupprimerJe ne sais pas quelles balises HTML utiliser afin de publier un lien directement dans la page des commentaires avec mon modèle.
Si vous avez des suggestions, je serai ravie de tenter de les mettre en place.
En attendant, je mettrai vos liens dans la page d'acceuil avec les commentaires récents.
Merci!
bonjour!
RépondreSupprimer//
Je ne sais pas quelles balises HTML utiliser afin de publier un lien directement dans la page des commentaires avec mon modèle. //
moi non plus, je ne sais pas, mais faisons un test
test:
reading_is_dangerous
===
Ça fonctionne! Secret de balises à partager...
RépondreSupprimerMerci d'avance!
ah!
RépondreSupprimernouveau probleme: je ne sais pas comment retranscrire ces balises sans que le systeme en fasse un nouveau lien. . .
alors je vous suggere de faire comme ca: dans le menu de votre navigateur internet, trouver: "code source de la page" (Ctrl-U dans Modzilla) et rechercher: "test" pour retrouver la piste de mon "test" au commentaire precedent. Vous verrez ce que j'ai tape entre crochets. . .
oh! la la, que c'est penible. . .
reading_is_dangerous
RépondreSupprimerVoilà! Effectivement, c'est plutôt pénible de suivre ce genre de piste. Cependant, je vous remercie de votre sagacité.
RépondreSupprimerEn résumé, je crois que pour insérer un lien dans la page « enregistrer un commentaire », nous pouvons utiliser les balises .
soit:
le titre de votre lien
Je souhaite que cela fonctionne.
Merci Reading is dangerous!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerdu coup, ca fait des tas liens vers une invitation dangereuse a la lecture. . . ;-)
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