Mesdames and gentlemen, Little Miss peut-être en devenir Delamer,
C’est cela! C’est moi, je suis de retour, Miss Chichi Delamer ! Ne suis-je pas wonderfull… Surtout pour le grande finality du concours!
Je suis dans l’immensité globale de vous annoncer, oui, c’est cela, de vous partager mon incredible intensité, car nous voici au point fabulous de la dernière compétition de la base primaire de ce marvelous événement qu’est forever le concours little Miss Delamer…
Je coince dans ma gorge des mots de sérénité puisque je vous entends le bonheur surmonté jusqu’au plafond de cette profonde et wonderfull salle de compétition, et je la nomme, comme c’est cela, la prodigieuse strawberry field de l’hôtel le Ocean bleu…
Je vous le supplie, one more time, une main ou deux de votre encouragement pour toutes nos Little Miss Delamer, ici, là-bas, dans la pénombre de l’anxious fever, dans l’attente derrière son curtain…
Thank you à toi, et aussi to you, parents, amis et gens de cirque of Buffalo Bill sur la route qui ont suivi la boussole de ton cœur jusqu’ici pour listen de ton oreille délicate toutes les incrédibles choses Delamer que tu as pu constater, ici, now. Oh ! Yes ah oui! N’est-ce pas Marvelous ! Ne suis-je pas Marvelous !!! Yes ! Tu peux m’applaudir…
Merci, thank you, cela me remonte la région durement éprouvée. Et voici que Chichi Delamer se calme le mot de présentation de cette dernière concurrente. Ce sera pour de bon, ce numéro suivant, car je le vous annonce, nous verrons the last chose de la compétition Delamer sur cette crazy piste de la joie du fashion beauté de Little Miss Delamer de l’Amérique, au cœur de San Francisco. Et voilà, que je la présente pour le final de sa vie… ou de la mienne…
Elle nous a really, comment dire, completly asthonyshing dans le défilé en maillot Delamer, soit avec une création de Madame Madeleine Arbour, un maillot en papier de soie recyclée et de résine de synthèse fraise et chocolat… Et voilà que je me rappelle le tour de chant de la Little Miss a cappella gonflé à bloc dans une robe de bal signée Riopelle… Mais je le crois, et je le dis, je suis vraiment perdue dans l’immensité de l’absurde chose que j’ai prise dans le regard, je parle de ce concert de guitare océanique au son des tam-tams du père Ambroise… Là, je believe avoir perdu mon dentier… Bref, je ne retrouve plus ton émotion dans le plancher du moment présent, ni la mienne, marvelous, je pense, à l’apparition horrible de la présentation de ce tango tibétain accompagné d’un duel de rimes américano-soviétique slamé par les triplettes de Vanilleville en maillot Delamer… Et là, je crois avoir perdu complètement la conscience infinie de mon intérieur entre le doute du génie présenté devant moi ou de l’absurde total… I prefer to take a ticket for the Titanic… car je suis en perdition absolute dans un ocean désert…
Je t’entends et je le répète à moi, cette Little Miss Delamer, completly incompréhensible est à toi, now, pour son dernier numéro. Et je le répète, si tu votes pour cela, je perds la totalité de la moindre chose d’esprit qui me reste sous l’océan hôtel… Et je fais disparition dans mon little Yellow submarine… Oui, yes ! Applaudissez-moi encore !!!
Mesdames, poney express Rousseau et les autres…
Je vous présente pour sa ridiculous finale, dans une mise en scène complètement bizarre, créée entre un fond de cour de mère nature, une Chrysler rouge et l’univers de la tribu de son Nouveau-Bordeaux de quartier… Whatever, la robe, enfin, si je peux la dire de même, la chose dite costume est de Calamity Jane, une louve terriblement bien incisée dans la jugulaire. Le texte est une pavane de mer… et puis, je n’en peux plus… Je te la donne, car je préfère tenter de partir d’ici le plus vite… avant que je ne meure…
Voici, la voilà, Little Miss en devenir Delamer du Québec ! Mademoiselle M !
CARNAVAL, TSUNAMI ET GOUTTES DE PLUIE…
…
… Oui, c’est cela, c’est ma prothèse dentaire… Heu, merci, mon ami. Heu… Bon. Je te décris le comportement étrange de la bombe devant moi… Elle défile en auguste destrier sur la scène… Je suis à terre, moi, Chichi Delamer, je n’ai jamais subi si indescriptible événement… Oui, elle chante some lullaby, en français, je devine un fond chinois, mais… Bon. Et voilà quelques pas de Be-bop et de beat… C’est si… Whatever. Bof ! Et de l’eau de vague se précipite sur elle… C’est un ridiculous flashdance… Elle lance des fleurs de papiers et des étoiles de mer… Oui, cela paraît absurde et… ce l’est by the fact… Help ! Mais, je t’entends applaudir dans la chaise, dans le corridor, et de partout…. Alors, je poursuis la descente au phare infernal, le naufrage de l’incroyable final de ce concours complètement disjoncté… que je dois terminer… avant de couler au plus vite dans mon little navire Delamer…
Voilà, chose impossible, mais véritable que je dois avouer. Je crois que tu aimes ce numéro nommé Sur le carnet de route du côté… Je crois que tu es affreusement fou, j’ajouterais incre-débile… Mais, c’est toi qui votes pour « Elle »… Alors, je te la donne cette « M », afin que je puisse disparaître dans la mer forever… Moi, pauvre Chichi Delamer…
Mesdames et messieurs, je vous présente, votre Little Miss Delamer 2007…
Mademoiselle M…
Excusez-la…
À suivre…
C’est cela! C’est moi, je suis de retour, Miss Chichi Delamer ! Ne suis-je pas wonderfull… Surtout pour le grande finality du concours!
Je suis dans l’immensité globale de vous annoncer, oui, c’est cela, de vous partager mon incredible intensité, car nous voici au point fabulous de la dernière compétition de la base primaire de ce marvelous événement qu’est forever le concours little Miss Delamer…
Je coince dans ma gorge des mots de sérénité puisque je vous entends le bonheur surmonté jusqu’au plafond de cette profonde et wonderfull salle de compétition, et je la nomme, comme c’est cela, la prodigieuse strawberry field de l’hôtel le Ocean bleu…
Je vous le supplie, one more time, une main ou deux de votre encouragement pour toutes nos Little Miss Delamer, ici, là-bas, dans la pénombre de l’anxious fever, dans l’attente derrière son curtain…
Thank you à toi, et aussi to you, parents, amis et gens de cirque of Buffalo Bill sur la route qui ont suivi la boussole de ton cœur jusqu’ici pour listen de ton oreille délicate toutes les incrédibles choses Delamer que tu as pu constater, ici, now. Oh ! Yes ah oui! N’est-ce pas Marvelous ! Ne suis-je pas Marvelous !!! Yes ! Tu peux m’applaudir…
Merci, thank you, cela me remonte la région durement éprouvée. Et voici que Chichi Delamer se calme le mot de présentation de cette dernière concurrente. Ce sera pour de bon, ce numéro suivant, car je le vous annonce, nous verrons the last chose de la compétition Delamer sur cette crazy piste de la joie du fashion beauté de Little Miss Delamer de l’Amérique, au cœur de San Francisco. Et voilà, que je la présente pour le final de sa vie… ou de la mienne…
Elle nous a really, comment dire, completly asthonyshing dans le défilé en maillot Delamer, soit avec une création de Madame Madeleine Arbour, un maillot en papier de soie recyclée et de résine de synthèse fraise et chocolat… Et voilà que je me rappelle le tour de chant de la Little Miss a cappella gonflé à bloc dans une robe de bal signée Riopelle… Mais je le crois, et je le dis, je suis vraiment perdue dans l’immensité de l’absurde chose que j’ai prise dans le regard, je parle de ce concert de guitare océanique au son des tam-tams du père Ambroise… Là, je believe avoir perdu mon dentier… Bref, je ne retrouve plus ton émotion dans le plancher du moment présent, ni la mienne, marvelous, je pense, à l’apparition horrible de la présentation de ce tango tibétain accompagné d’un duel de rimes américano-soviétique slamé par les triplettes de Vanilleville en maillot Delamer… Et là, je crois avoir perdu complètement la conscience infinie de mon intérieur entre le doute du génie présenté devant moi ou de l’absurde total… I prefer to take a ticket for the Titanic… car je suis en perdition absolute dans un ocean désert…
Je t’entends et je le répète à moi, cette Little Miss Delamer, completly incompréhensible est à toi, now, pour son dernier numéro. Et je le répète, si tu votes pour cela, je perds la totalité de la moindre chose d’esprit qui me reste sous l’océan hôtel… Et je fais disparition dans mon little Yellow submarine… Oui, yes ! Applaudissez-moi encore !!!
Mesdames, poney express Rousseau et les autres…
Je vous présente pour sa ridiculous finale, dans une mise en scène complètement bizarre, créée entre un fond de cour de mère nature, une Chrysler rouge et l’univers de la tribu de son Nouveau-Bordeaux de quartier… Whatever, la robe, enfin, si je peux la dire de même, la chose dite costume est de Calamity Jane, une louve terriblement bien incisée dans la jugulaire. Le texte est une pavane de mer… et puis, je n’en peux plus… Je te la donne, car je préfère tenter de partir d’ici le plus vite… avant que je ne meure…
Voici, la voilà, Little Miss en devenir Delamer du Québec ! Mademoiselle M !
CARNAVAL, TSUNAMI ET GOUTTES DE PLUIE…
…
… Oui, c’est cela, c’est ma prothèse dentaire… Heu, merci, mon ami. Heu… Bon. Je te décris le comportement étrange de la bombe devant moi… Elle défile en auguste destrier sur la scène… Je suis à terre, moi, Chichi Delamer, je n’ai jamais subi si indescriptible événement… Oui, elle chante some lullaby, en français, je devine un fond chinois, mais… Bon. Et voilà quelques pas de Be-bop et de beat… C’est si… Whatever. Bof ! Et de l’eau de vague se précipite sur elle… C’est un ridiculous flashdance… Elle lance des fleurs de papiers et des étoiles de mer… Oui, cela paraît absurde et… ce l’est by the fact… Help ! Mais, je t’entends applaudir dans la chaise, dans le corridor, et de partout…. Alors, je poursuis la descente au phare infernal, le naufrage de l’incroyable final de ce concours complètement disjoncté… que je dois terminer… avant de couler au plus vite dans mon little navire Delamer…
Voilà, chose impossible, mais véritable que je dois avouer. Je crois que tu aimes ce numéro nommé Sur le carnet de route du côté… Je crois que tu es affreusement fou, j’ajouterais incre-débile… Mais, c’est toi qui votes pour « Elle »… Alors, je te la donne cette « M », afin que je puisse disparaître dans la mer forever… Moi, pauvre Chichi Delamer…
Mesdames et messieurs, je vous présente, votre Little Miss Delamer 2007…
Mademoiselle M…
Excusez-la…
À suivre…
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1. Illustration: Douanier Rousseau. Un soir de Carnaval, 1886
Ciel! Sky ou je ne sais trop! C'est que vous êtes déchainée, Lady M...
RépondreSupprimerIl y a des vagues de chocolat, par là et des bateaux fraises qui voguent sur la mer des chichis. Le vent sent le sunday, je vous le dis. La sucrerie, la fraise sur le gâteau et la médaille au collet.
Tout cela est bien beau et inspire l'image... Oui.
>Gaëna: Le vent sent le sunday... Et oui! Je dirais même le sunshine sunday. Je crois que M a quelque peu exagéré... Mais peu importe, elle s'offrira une sortie au dépanneur pour célébrer.
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé ton rigodon avec les Triplettes de Vanilleville.
Inoubliable!!!
//un maillot en papier de soie recyclée et de résine de synthèse fraise et chocolat…//
RépondreSupprimerles temps modernes, dirait-on.
Ce texte est un bouilli de vegetables, un V8 de culture au sel, une chance de lecture, une rockette.
Des images glissent l'une sur l'autre, les noms, Miss Chichi des franches rigolades, les angoisses subtiles...
base primaire, oui.
gorge sereine, oui.
strawberry field, je la sentais justement venir.
la boussole du coeur, une trouvaille.
La guitare de la mer, c'est beau.
Je believe avoir perdu mon rentier , tant pis pour mon porte-feuille, oops, j'invente.
la region qui fait mal remonte.
le final de la vie donne un gros party.
thanks a lot, c'est Marvelous,
je clappe des mains mon petit Poney Express.
quelle imagination M!