A l’instar du réalisateur chinois Lou Ye, en compétition cette année avec Nuits d'ivresse printanière, Bahman Ghabadi doit contourner la censure dans son pays pour faire aboutir ses projets. "Nous n’avions pas d’autorisation. Les repérages puis le tournage ont été faits sur deux ou trois motocyclettes et nous avons commencé à tourner sans réelle préparation. Les scènes devaient être tournées rapidement pour que la police ne puisse pas nous repérer."
Voilà, c'est parti! Un délice pour tous les cinéphiles.
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Bonsoir Mireille,
RépondreSupprimerRedescendue de la Lune, je passe te saluer et te souhaiter une bonne fin de semaine emplie de magie de la vie.